extrait

à tout le reste nous préferons imaginer
la phrase “C’est naviguer qu’il faut, pas vivre” en est l’expression
j’ai toujours pensé qu’elle avait été écrite par Fernando Pessoa
peut-être parce qu’elle se trouve à l’ouverture de son Oeuvre poétique
ou à cause du vers “La mer sans fin est portugaise”
mais peut-être j’ai pensé que le poète en était l’auteur pour une raison entièrement subjective
par la certitude intime qu’une idée si pertinente ne peut qu’être née dans la langue natale
une langue où les idées fleurissent et nous touchent véritablement


résumé

Quand Paris scintille contient trente-trois chroniques sans majuscule ni point final – comme dans Paris ne finit jamais, un succès de l’auteur traduit en chinois. A travers ces chroniques, le lecteur se transporte en Europe, en Asie, en Amérique du Nord et du Sud. Il découvre qu’il est aussi fondamental de se livrer à l’imaginaire que de rompre ses habitudes. L’auteur met en question la primauté de la norme par la médecine occidentale et valorise les soins alternatifs. Il compare notre manière de vivre avec celle des Chinois et des Indiens, en abordant différents thèmes comme les manières d’être de l’artiste, de l’ascète et de l’écrivain. Betty Milan nous offre la chronique de ses perplexités en nous proposant un voyage dans l’espace et un temps de méditation. Quand Paris scintille est une invitation au voyage.


historique

Ce titre a été lancé en mars 2008 à la Livraria Cultura de São Paulo. Le texte a été présenté par l’écrivain Fernando Nuno et le médecin chinois Fang Liu, qui a parlé de la longévité et de la patience. Puis trois des chroniques ont été lues par José Celso Martinez Corrêa. Le livre a été recommandé par la revue Veja.


points de vue

Il y a une esthétique, une poétique et une philosophie qui transparaissent de ces expériences dans des lieux aussi éloignés les uns des autres. Depuis la première chronique, où le soleil qui scintille dans le vitrail et l’arabesque donnent toute leur présence à l’art et à l’Orient, il y a toujours un trait particulier, un détail, la perception de quelque chose qui vous renvoie à l’universel.
Claudio Willer, Estado de Minas, 12/04/2008


champs de recherche

Littérature / Psychanalyse / Psychologie / Sociologie / Anthropologie.


critique

(voir la version en portugais)


acheter le livre

Livraria Cultura (portugais – imprimé)


extrait

à tout le reste nous préferons imaginer
la phrase “C’est naviguer qu’il faut, pas vivre” en est l’expression
j’ai toujours pensé qu’elle avait été écrite par Fernando Pessoa
peut-être parce qu’elle se trouve à l’ouverture de son Oeuvre poétique
ou à cause du vers “La mer sans fin est portugaise”
mais peut-être j’ai pensé que le poète en était l’auteur pour une raison entièrement subjective
par la certitude intime qu’une idée si pertinente ne peut qu’être née dans la langue natale
une langue où les idées fleurissent et nous touchent véritablement


résumé

Quand Paris scintille contient trente-trois chroniques sans majuscule ni point final – comme dans Paris ne finit jamais, un succès de l’auteur traduit en chinois. A travers ces chroniques, le lecteur se transporte en Europe, en Asie, en Amérique du Nord et du Sud. Il découvre qu’il est aussi fondamental de se livrer à l’imaginaire que de rompre ses habitudes. L’auteur met en question la primauté de la norme par la médecine occidentale et valorise les soins alternatifs. Il compare notre manière de vivre avec celle des Chinois et des Indiens, en abordant différents thèmes comme les manières d’être de l’artiste, de l’ascète et de l’écrivain. Betty Milan nous offre la chronique de ses perplexités en nous proposant un voyage dans l’espace et un temps de méditation. Quand Paris scintille est une invitation au voyage.


historique

Ce titre a été lancé en mars 2008 à la Livraria Cultura de São Paulo. Le texte a été présenté par l’écrivain Fernando Nuno et le médecin chinois Fang Liu, qui a parlé de la longévité et de la patience. Puis trois des chroniques ont été lues par José Celso Martinez Corrêa. Le livre a été recommandé par la revue Veja.


points de vue

Il y a une esthétique, une poétique et une philosophie qui transparaissent de ces expériences dans des lieux aussi éloignés les uns des autres. Depuis la première chronique, où le soleil qui scintille dans le vitrail et l’arabesque donnent toute leur présence à l’art et à l’Orient, il y a toujours un trait particulier, un détail, la perception de quelque chose qui vous renvoie à l’universel.
Claudio Willer, Estado de Minas, 12/04/2008


champs de recherche

Littérature / Psychanalyse / Psychologie / Sociologie / Anthropologie.


critique

(voir la version en portugais)


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Livraria Cultura (portugais – imprimé)